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– Artículo*: posesodegerasa –
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– Artículo*: posesodegerasa –
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– Artículo*: Alex Dantart –
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Je reproduis ci-dessous le texte intégral de cette pétition à mon sens non polémique et pleine de bon sens. Vous pouvez la signer sur la plateforme Change.org
Monsieur le Président de la République, Le Figaro a publié le lundi 29 avril une lettre ouverte signée par 1170 membres de la communauté scientifique internationale vous appelant à ne pas dessaisir les experts du patrimoine de la gestion sereine de la reconstruction de la cathédrale Notre-Dame de Paris et à renoncer à votre projet d’une loi d’exception visant à s’affranchir de tout ou partie des règles existantes quant à la protection du patrimoine.
Monsieur le Président, la France possède déjà une législation exemplaire et pionnière en la matière, que prolongent et complètent des chartes internationales comme celle de Venise et diverses actions de l’UNESCO sur le plan du patrimoine culturel.
Monsieur le Président, la France possède également des institutions d’excellence formant des spécialistes de la protection, reconnues internationalement et attirant des étudiants du monde entier, qu’il s’agisse des métiers de l’esprit ou de la main. Nous avons toute la main-d’œuvre nécessaire, depuis les cabinets d’étude jusqu’aux artisans parfaitement formés aux techniques les plus traditionnelles comme les plus modernes.
Monsieur le Président, passé la vive et légitime émotion devant ce désastre, gardons tous l’esprit calme et évadons-nous des calendriers autres que celui d’un chantier d’exception qui doit tout d’abord être parfaitement diagnostiqué quant à tous les dégâts subis, notamment par la maçonnerie qui dans sa minéralité est cependant un corps vivant, enfiévré et fragile, avant de pouvoir faire des choix quant au projet de restauration et établir un calendrier des travaux. Nul ne sait aujourd’hui si ce chantier durera 5 ans ou moins, 15 ans ou plus. Laissons le temps de la réflexion décider du temps nécessaire aux travaux et ayons tous un seul objectif, terriblement ambitieux celui-là : faire en sorte que ce chantier soit exemplaire, tant dans la qualité des travaux accomplis que comme laboratoire des techniques et des modes de transmission des savoirs-faire.
Nous demandons à tous les professionnels du patrimoine, qu’ils soient charpentiers, tailleurs de pierre, couvreurs ou de n’importe quel métier dit manuel, ou qu’ils soient conservateurs, historiens, professeurs d’architecture ou de n’importe quel métier dit intellectuel, de signer cette pétition pour se joindre à ces 1170 membres de la communauté scientifique internationale et épauler ainsi leur appel. Nous le demandons aussi à tous les amoureux du patrimoine, qu’ils soient partisans d’une reconstruction à l’identique ou bien de projets plus modernistes. Car dans tous les cas, ce monument phare qu’est Notre-Dame de Paris mérite l’urgence… d’une réflexion apaisée !
Merci Monsieur le Président de renoncer à votre projet de loi et de nous aider à réussir ce projet bien plus ambitieux dont l’humain sera la pierre angulaire.
Vous pouvez signer cette pétition sur la plateforme Change.org. Merci de la partager également le plus largement possible.
Original post blogged on b2evolution.
– Artículo*: Jean-Michel MATHONIÈRE –
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Derrière ce stéréotype, il y a l’opinion selon laquelle la théorie serait inutile, au mieux superficielle, un préambule à la pratique, au concret, seul réel.
Pourtant, chacun admet que la philosophie est une pratique difficile. Car, oui, c’est une pratique. La théorie est une pratique. Vraiment théoriser, c’est vraiment pratiquer. Penser est une pratique. Quelle pratique ?
Certains croient que penser est un simple jeu de mots qui n’a pas de conséquence réelles, qui n’est pas ressenti et qui est donc sans réel pouvoir.
Mais la philosophie est une pratique.
D’abord, la base de la philosophie, c’est le dialogue. Intérieur (la méditation) ou bien avec autrui. Bien sûr, la philosophie ne se limite pas au dialogue. Mais, depuis Socrate au moins, nous savons que l’amour de la sagesse s’exprime d’abord dans la pratique du «dialogue» : le logos, la raison, passe par nous, à travers nous. Et cette lumière naturelle, innée, nous transforme. Raisonner, ça n’est pas chercher à «avoir raison», c’est se soumettre au tribunal de la raison. Ça n’est pas une sorte de masturbation solitaire, une fuite. Raison vient de ratio, «mise en rapport», relation. Même si je suis physiquement seul, penser me «met en relation» avec un Autre intérieur. La pensée est un dialogue intérieur.
Or, le dialogue est une pratique difficile. On le voit en observant combien un dialogue serein est chose rare. En général, ce sont des ego, identifiés à des opinions, qui s’affrontent, et non des personnes qui cherchent ensemble la vérité. La pratique de la philosophie exige que je prenne mes distances par rapport à mes opinions, sans toutefois demander, comme on le croit trop souvent aujourd’hui, un scepticisme universel («à chacun son opinion») qui n’est que paresse.
Prendre du recul par rapport à des opinions est chose difficile. C’est un travail sur soi, qui va toucher jusqu’aux couches les plus profondes de notre être. Discutez avec ceux qui professent que «c’est juste intellectuel» : leur attachement irraisonné à telle ou telle croyance se révélera bien vite !
La philosophie n’exige pas que nous soyons sceptiques : elle demande seulement que nous fassions l’effort d’écouter et de répondre en argumentant.
Argumenter : voilà une autre pratique difficile. S’exercer à trouver des raisons qui justifient telle ou telle assertion. Voilà qui est une véritable pratique. J’adhère à telle croyance. Soit. Mais pourquoi ? Puis-je le justifier ? Puis-je rendre raison de mon opinion ? Chacun soupçonne la puissance de ce petit «pourquoi ?» que les parents s’empressent de traiter chez leurs enfants…
La philosophie est donc la pratique du dialogue argumenté. Pratique libre, ouverte, c’est-à-dire sans présupposé sceptique (à quoi bon penser alors ?), ni préjugé dogmatique (il n’y a pas de réponse attendue, le dialogue est libre, ouvert). Cette pratique est d’une puissance incroyable. Simple, mais profonde. Elle ne présuppose rien que ce qui est évident et naturelle. Elle est ouverte, égalitaire, elle respecte les droits d’autrui et célèbre sa liberté.
Apprendre à argumenter, c’est aussi apprendre à déjouer les pièges du langage, de la logique, les raisonnements fallacieux, les sophismes, les apparences, les habitudes. Penser, c’est observer les habitudes subtiles, c’est un exercice complet, qui mène au vrai qui est le bien, au plus profond. C’est se rendre service mutuel. Un épouillage intellectuel est l’une des plus belles activités humaines. On y retrouve toutes les vertus, y-compris l’amour, l’amour du vrai, l’amour de l’autre, l’amour du vrai en l’autre. Le dialogue exerce la mémoire, stimule l’imagination (les expériences de pensée), fait travailler la parole, le souffle, engage le corps entier, dévoile et soulage les émotions, révèles les blocages, grossiers et subtils.
Toutes nos actions sont fondées sur nos opinions (nos croyances). Travailler ses opinions, c’est travailler sur soi.
Œuvrer sans gourou, sans culte de la personne, mais dans le respect de toutes, à la fois dans l’amour de l’universel en l’autre, et dans la reconnaissance de sa singularité, de son individualité.
La philosophie est une pratique complète, une pratique de liberté. Une pratique d’amour, d’ouverture, de lucidité, de rigueur, de créativité, une culture de soi, une célébration du mystère, de l’étonnement d’être.
Si l’on me demande ce que je suis, je rechigne à répondre, car je me méfie des étiquettes. Mais, tout bien pesé, je suis philosophe. Amoureux de la sagesse, aspirant au vrai, au bien, au beau. Ça me suffit largement. Aspirer à la vérité, à respirer son air, parfois glacial, mais toujours salutaire, c’est déjà pas mal. Je ne suis ni yogi, ni tantrika, ni universitaire, ni érudit, ni sage, ni gourou, ni éveillé. Juste aspirant à spiraler sous l’inspiration de ce je-ne-sais-quoi, là, ici. Je suis un adepte de la «chasse à la sagesse» à laquelle nous invitait Socrate. Oui, rien d’autre, car cela contient tout, en fait. Et «philosophe», c’est une définition qui ouvre. C’est aimer le mystère de tout son être, de toutes ses forces. Sans exclure aucune faculté. Pendant des siècles, on a nié le corps au nom de l’esprit. Aujourd’hui, on trouve beau de nier l’intellect au nom du corps.
Alors moi, oui, je suis un intellectuel. Ça me va. Intellectus, noûs, buddhi… pas si mal. Theorein : contempler le divin. Or, nous devenons ce que nous contemplons, ce que nous admirons. Théoriser, c’est donc devenir divin, «dans la mesure de nos forces», comme disaient les Grecs. C’est grave la philo, c’est gourou. Pas laghou, pas light.
La philosophie n’est pas tout, mais elle contient toutes les saines pratiques. Elle est la solide fondation. En philosophe, tout est possible. Je peux versifier, prosaïquer, pique-niquer, yoguiser, canaliser, peindre, méditer, créer, ressentir, intuiter, humer, pister, clouer, lutter, fuir et combattre, aimer, admirer, rêver… Tout est possible. Sainement. Librement. «En conscience», dans le jargon pseudo-spirituel.
La vie intérieure est philosophie. La philosophie est une voie spirituelle complète. Une thérapie gratuite, mais non sans prix. Un yoga sans tapis, mais non dépourvu de sa sueur, une pleine conscience sans posture, mais non sans engagement.
Bien sûr, la spiritualité contemporaine rejette l’intellect. Car elle rejette la critique. Car la critique (de krinein, «passer au tamis»), c’est mauvais pour le profit. Ça casse la magie du business. C’est pas une «valeur ajoutée». J’entend partout des gens dire «le corps est un outil, faut en prendre soin». Et alors hop, yoga et tout. Et ces mêmes gens disent «le mental est un outil». Mais je ne les ai JAMAIS entendu dire : «Prenez soin de votre intellect, exercez-le, apprenez à penser, à raisonner, étudiez les sophismes, faites des exercices de logique, apprenez à problématiser !» Jamais. Pas une seule fois. Allez comprendre… La devise des Lumières est plus que jamais d’actualité : «Ose penser !» Ne craint pas de sauter par-dessus la barrière. Ce ne sont pas les moutons qui te protégerons, de toutes façons. Rien ne vaut la liberté. Aucune «paix», aucun «bonheur», aucune «pureté» ne valent la liberté intellectuelle. Il y a même des gens qui vendent l’esclavage en le présentant comme la liberté. Et il ne manque pas de clients.
Bref.
Telle est mon intuition : la raison, c’est bon. La philosophie est vaste et profonde, une exploration sans autres limites que celles que nous choisissons. J’espère que nous regardons dans la même direction pour célébrer, tel un chœur improvisé, ce je-ne-sais-quoi.
– Artículo*: noreply@blogger.com (David Dubois) –
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Pourtant, chacun admet que la philosophie est une pratique difficile. Car, oui, c’est une pratique. La théorie est une pratique. Vraiment théoriser, c’est vraiment pratiquer. Penser est une pratique. Quelle pratique ?
Certains croient que penser est un simple jeu de mots qui n’a pas de conséquence réelles, qui n’est pas ressenti et qui est donc sans réel pouvoir.
Mais la philosophie est une pratique.
D’abord, la base de la philosophie, c’est le dialogue. Intérieur (la méditation) ou bien avec autrui. Bien sûr, la philosophie ne se limite pas au dialogue. Mais, depuis Socrate au moins, nous savons que l’amour de la sagesse s’exprime d’abord dans la pratique du «dialogue» : le logos, la raison, passe par nous, à travers nous. Et cette lumière naturelle, innée, nous transforme. Raisonner, ça n’est pas chercher à «avoir raison», c’est se soumettre au tribunal de la raison. Ça n’est pas une sorte de masturbation solitaire, une fuite. Raison vient de ratio, «mise en rapport», relation. Même si je suis physiquement seul, penser me «met en relation» avec un Autre intérieur. La pensée est un dialogue intérieur.
Or, le dialogue est une pratique difficile. On le voit en observant combien un dialogue serein est chose rare. En général, ce sont des ego, identifiés à des opinions, qui s’affrontent, et non des personnes qui cherchent ensemble la vérité. La pratique de la philosophie exige que je prenne mes distances par rapport à mes opinions, sans toutefois demander, comme on le croit trop souvent aujourd’hui, un scepticisme universel («à chacun son opinion») qui n’est que paresse.
Prendre du recul par rapport à des opinions est chose difficile. C’est un travail sur soi, qui va toucher jusqu’aux couches les plus profondes de notre être. Discutez avec ceux qui professent que «c’est juste intellectuel» : leur attachement irraisonné à telle ou telle croyance se révélera bien vite !
La philosophie n’exige pas que nous soyons sceptiques : elle demande seulement que nous fassions l’effort d’écouter et de répondre en argumentant.
Argumenter : voilà une autre pratique difficile. S’exercer à trouver des raisons qui justifient telle ou telle assertion. Voilà qui est une véritable pratique. J’adhère à telle croyance. Soit. Mais pourquoi ? Puis-je le justifier ? Puis-je rendre raison de mon opinion ? Chacun soupçonne la puissance de ce petit «pourquoi ?» que les parents s’empressent de traiter chez leurs enfants…
La philosophie est donc la pratique du dialogue argumenté. Pratique libre, ouverte, c’est-à-dire sans présupposé sceptique (à quoi bon penser alors ?), ni préjugé dogmatique (il n’y a pas de réponse attendue, le dialogue est libre, ouvert). Cette pratique est d’une puissance incroyable. Simple, mais profonde. Elle ne présuppose rien que ce qui est évident et naturelle. Elle est ouverte, égalitaire, elle respecte les droits d’autrui et célèbre sa liberté.
Apprendre à argumenter, c’est aussi apprendre à déjouer les pièges du langage, de la logique, les raisonnements fallacieux, les sophismes, les apparences, les habitudes. Penser, c’est observer les habitudes subtiles, c’est un exercice complet, qui mène au vrai qui est le bien, au plus profond. C’est se rendre service mutuel. Un épouillage intellectuel est l’une des plus belles activités humaines. On y retrouve toutes les vertus, y-compris l’amour, l’amour du vrai, l’amour de l’autre, l’amour du vrai en l’autre. Le dialogue exerce la mémoire, stimule l’imagination (les expériences de pensée), fait travailler la parole, le souffle, engage le corps entier, dévoile et soulage les émotions, révèles les blocages, grossiers et subtils.
Toutes nos actions sont fondées sur nos opinions (nos croyances). Travailler ses opinions, c’est travailler sur soi.
Œuvrer sans gourou, sans culte de la personne, mais dans le respect de toutes, à la fois dans l’amour de l’universel en l’autre, et dans la reconnaissance de sa singularité, de son individualité.
La philosophie est une pratique complète, une pratique de liberté. Une pratique d’amour, d’ouverture, de lucidité, de rigueur, de créativité, une culture de soi, une célébration du mystère, de l’étonnement d’être.
Si l’on me demande ce que je suis, je rechigne à répondre, car je me méfie des étiquettes. Mais, tout bien pesé, je suis philosophe. Amoureux de la sagesse, aspirant au vrai, au bien, au beau. Ça me suffit largement. Aspirer à la vérité, à respirer son air, parfois glacial, mais toujours salutaire, c’est déjà pas mal. Je ne suis ni yogi, ni tantrika, ni universitaire, ni érudit, ni sage, ni gourou, ni éveillé. Juste aspirant à spiraler sous l’inspiration de ce je-ne-sais-quoi, là, ici. Je suis un adepte de la «chasse à la sagesse» à laquelle nous invitait Socrate. Oui, rien d’autre, car cela contient tout, en fait. Et «philosophe», c’est une définition qui ouvre. C’est aimer le mystère de tout son être, de toutes ses forces. Sans exclure aucune faculté. Pendant des siècles, on a nié le corps au nom de l’esprit. Aujourd’hui, on trouve beau de nier l’intellect au nom du corps.
Alors moi, oui, je suis un intellectuel. Ça me va. Intellectus, noûs, buddhi… pas si mal. Theorein : contempler le divin. Or, nous devenons ce que nous contemplons, ce que nous admirons. Théoriser, c’est donc devenir divin, «dans la mesure de nos forces», comme disaient les Grecs. C’est grave la philo, c’est gourou. Pas laghou, pas light.
La philosophie n’est pas tout, mais elle contient toutes les saines pratiques. Elle est la solide fondation. En philosophe, tout est possible. Je peux versifier, prosaïquer, pique-niquer, yoguiser, canaliser, peindre, méditer, créer, ressentir, intuiter, humer, pister, clouer, lutter, fuir et combattre, aimer, admirer, rêver… Tout est possible. Sainement. Librement. «En conscience», dans le jargon pseudo-spirituel.
La vie intérieure est philosophie. La philosophie est une voie spirituelle complète. Une thérapie gratuite, mais non sans prix. Un yoga sans tapis, mais non dépourvu de sa sueur, une pleine conscience sans posture, mais non sans engagement.
Bien sûr, la spiritualité contemporaine rejette l’intellect. Car elle rejette la critique. Car la critique (de krinein, «passer au tamis»), c’est mauvais pour le profit. Ça casse la magie du business. C’est pas une «valeur ajoutée». J’entend partout des gens dire «le corps est un outil, faut en prendre soin». Et alors hop, yoga et tout. Et ces mêmes gens disent «le mental est un outil». Mais je ne les ai JAMAIS entendu dire : «Prenez soin de votre intellect, exercez-le, apprenez à penser, à raisonner, étudiez les sophismes, faites des exercices de logique, apprenez à problématiser !» Jamais. Pas une seule fois. Allez comprendre… La devise des Lumières est plus que jamais d’actualité : «Ose penser !» Ne craint pas de sauter par-dessus la barrière. Ce ne sont pas les moutons qui te protégerons, de toutes façons. Rien ne vaut la liberté. Aucune «paix», aucun «bonheur», aucune «pureté» ne valent la liberté intellectuelle. Il y a même des gens qui vendent l’esclavage en le présentant comme la liberté. Et il ne manque pas de clients.
Bref.
Telle est mon intuition : la raison, c’est bon. La philosophie est vaste et profonde, une exploration sans autres limites que celles que nous choisissons. J’espère que nous regardons dans la même direction pour célébrer, tel un chœur improvisé, ce je-ne-sais-quoi.
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